Hello Girlboss ✨
Si tu lis cet article, c’est que tu t’es peut-être déjà posé la fameuse question : “Mais quel est le salaire d’un·e community manager freelance en 2026 ?” 💸
Et tu fais bien de te la poser, parce que le métier de community manager a énormément évolué ces dernières années. Les entreprises, les coachs, les marques personnelles recherchent des pros capables de gérer leurs réseaux sociaux, créer du contenu à forte valeur, et surtout, de transformer une communauté en clients.
Bref, ce n’est plus juste un job où tu postes des stories et planifies des publications. C’est un vrai rôle stratégique, ta mission est au cœur du marketing digital, de la communication web et de la gestion d’image de marque.
Mais parlons concret : quel salaire en moyenne espérer quand on décide de devenir freelance ? Combien peut-on gagner par mois selon son niveau d’expérience ? Et surtout, comment certaines réussissent à atteindre les fameux 5 000 € de chiffre d’affaires mensuel tout en gardant leur indépendance et leur liberté ?
Spoiler : c’est possible, à condition de savoir se positionner, fixer ses tarifs intelligemment, et développer une vraie posture de cheffe d’entreprise.
Dans cet article, on va décortiquer ensemble :
👉 les réalités du community management freelance,
👉 les compétences qui font la différence,
👉 les modèles de facturation les plus rentables,
👉 et les stratégies des pros qui cartonnent.
Prête à découvrir combien peut réellement rapporter ton métier de community manager, et comment transformer ta passion des réseaux sociaux en un business rentable et épanouissant ?
C’est parti 🚀
Les réalités du métier de community manager freelance
Avant de parler revenus ou tarifs, il faut remettre les choses dans leur contexte : le community management en freelance, c’est un métier complet, à mi-chemin entre la stratégie digitale, la création de contenu et la communication en ligne.
Tu n’es pas “juste” celle qui a pour mission de poster sur Instagram ou de répondre aux commentaires. Ta véritable mission est de devenir la voix d’une marque sur les réseaux sociaux, la personne qui gère son image de marque, crée de la visibilité, fidélise la communauté et soutient les ventes.
Au quotidien, tes missions peuvent être très variées :
- élaborer une stratégie social media adaptée aux objectifs de ton client ;
- planifier les publications, créer les visuels, rédiger les légendes ;
- analyser les résultats pour ajuster la stratégie de communication ;
- gérer les interactions et la modération sur plusieurs plateformes (Instagram, TikTok, LinkedIn, Facebook, X/Twitter, etc.) ;
- et parfois, accompagner la création d’offres digitales ou même les campagnes publicitaires.
Ce qu’on ne dit pas toujours : ce rôle de responsable de communauté demande bien plus qu’un bon sens esthétique ou une plume sympa. Il demande une rigueur de gestionnaire, une bonne organisation du temps, et la capacité à jongler entre plusieurs clients, projets et deadlines. Ce qui justifie ton salaire de community manager freelance.
Mais la vraie différence entre un community manager salarié et un community manager freelance, c’est la liberté… et la responsabilité.
👉 Tu gères tes tarifs, ton emploi du temps, ton positionnement.
👉 Tu choisis tes clients, mais c’est à toi de trouver les bons.
👉 Et surtout, ton revenu dépend directement de ta capacité à vendre ton expertise — pas juste à produire du contenu.
C’est là que beaucoup se bloquent : excellentes sur la partie création, mais moins à l’aise avec la vente ou la prospection. Résultat, elles travaillent dur, mais leurs revenus stagnent.
On va justement voir ce qui change vraiment quand on passe du statut salarié à la vie de freelance.
De salarié à freelance : ce qui change vraiment
Quand tu quittes ton poste de community manager en entreprise pour te lancer à ton compte, tout change… sauf ta passion pour les médias sociaux 😏.
En salariat, ton salaire brut tombe chaque mois, que tu aies 3 ou 10 clients à gérer. Tu bosses pour une seule marque, avec des objectifs fixés par un responsable communication ou un chef de projet. Tu n’as pas à chercher tes missions, à gérer ta facturation, ni à penser à ton tarif horaire.
En freelance, c’est une autre histoire :
- Tu deviens ton propre patron (et ton propre service compta, marketing et commercial).
- Tu dois fixer tes tarifs et savoir les défendre.
- Tu passes du temps à prospecter, répondre à des devis, et fidéliser tes clients.
- Tu dois aussi apprendre à gérer ton planning, car ton temps moyen de travail ne se limite pas à la création de contenu.
C’est souvent ce point-là qui surprend les community managers débutantes : tu peux travailler 30 heures sur tes missions clients, mais il faut ajouter la gestion de ton entreprise (réseaux sociaux, communication, devis, suivi client, etc.).
Autrement dit, tu gagnes en indépendance et en flexibilité, mais tu prends aussi plus de responsabilités.
Et ta rémunération n’est plus fixe : elle varie en fonction du nombre de clients, du type de prestations, et de la valeur perçue de ton travail. C’est ainsi que tu calcules ton salaire de community manager freelance.
La bonne nouvelle ? Tu n’as plus de plafond.
Ton salaire moyen n’est pas déterminé par une grille tarifaire RH, mais par ton niveau d’expertise, la qualité de tes offres et ta capacité à te vendre comme une pro.
Certaines community manager freelances génèrent 3 000 à 5 000 € par mois dès leur première année. D’autres dépassent les 8 000 € de chiffre d’affaires mensuel après avoir trouvé leur positionnement et optimisé leur stratégie de vente.
Ce n’est pas une question de chance. C’est une question de structure et de stratégie.
Et avant de parler chiffres, voyons justement ce qu’il faut maîtriser pour réussir à ce niveau.
Les compétences indispensables pour réussir
Le community management ne se résume plus à savoir poster sur Instagram ou rédiger une caption engageante. En 2026, une freelance qui veut bien gagner sa vie doit maîtriser un panel de compétences techniques, stratégiques et commerciales.
Voici les trois grands piliers qui font la différence 👇
🧠 1. Les compétences techniques
C’est la base du métier de community manager : savoir gérer les réseaux sociaux, comprendre les algorithmes, créer du contenu visuel et vidéo, maîtriser les outils de planification (comme Notion, Later, Metricool ou Trello), et suivre les statistiques.
Mais il ne suffit plus de “publier régulièrement”. Il faut savoir analyser les données et ajuster la stratégie digitale pour améliorer les résultats de tes clients.
💬 2. Les compétences en communication et en stratégie
Tu es avant tout une communicante. Tu dois savoir traduire la vision d’une marque en messages clairs, authentiques et impactants.
Cela passe par la stratégie de communication, le marketing de contenu, la gestion de communauté, et surtout la capacité à créer du lien.
Un bon community manager est aussi un peu rédacteur web, social media manager et créateur de contenu.
💰 3. Les compétences commerciales
C’est souvent là que tout se joue.
Les community managers qui gagnent bien leur vie ne sont pas forcément les plus créatives, mais celles qui savent vendre leurs services avec assurance.
👉 Savoir présenter une offre claire, fixer un tarif juste, gérer les objections, relancer un prospect, et surtout closer un appel découverte, ça change tout.
Ces compétences ne s’apprennent pas toujours sur le tas. Beaucoup de freelances se forment au marketing digital, à la négociation et à la vente pour passer de freelance débutante à freelance confirmée.
C’est d’ailleurs tout le cœur du programme Destination Girlboss, conçu pour t’aider à développer ton chiffre d’affaires sans jamais perdre ton authenticité ✨.
Mais avant d’en arriver là, voyons comment fixer tes tarifs de manière rentable et pro.
Comment fixer ses tarifs en tant que community manager freelance ?
Ah… le moment redouté 😅 : celui où il faut mettre un prix sur sa valeur.
C’est souvent là que les community managers freelances se perdent : entre la peur d’être trop chères et celle de ne pas être prises au sérieux si elles ne le sont pas assez.
Mais spoiler : ton tarif n’a rien à voir avec ce que tu “mérites” personnellement. Il reflète la valeur que tu apportes à ton client.
Une stratégie social media bien pensée peut littéralement générer des milliers d’euros de ventes pour une entreprise. Et c’est ça, que tu factures.
Avant de parler chiffres, il faut poser les bases 👇
- Ton tarif horaire ou journalier (ton fameux taux journalier moyen, ou TJM) dépend de ton expérience, de la taille du projet, de ton niveau d’expertise, et du type de client.
- Ton statut juridique (micro-entreprise, portage salarial, société) influe aussi sur le revenu net que tu encaisses à la fin du mois.
- Enfin, ton positionnement joue un rôle clé : une community manager stratégique qui fait de la création de contenu, de la gestion de communauté, et du reporting ne se vend pas au même prix qu’une CM qui poste trois visuels par semaine.
Tu dois penser en valeur livrée, pas en temps passé.
Parce qu’en réalité, les clients ne t’achètent pas des heures, ils t’achètent des résultats. C’est dans cette perspective que tu vas calculer ton salaire de community manager freelance.
💡 Exemple :
Une CM qui aide une coach à vendre ses programmes sur Instagram ne fait pas “que” créer des posts. Elle gère un levier commercial qui peut rapporter plusieurs milliers d’euros.
👉 Moralité : plus tu comprends les enjeux business de tes clients, plus tu peux facturer juste — et mieux.
On va justement voir les différents modèles de facturation possibles, et comment choisir celui qui te convient le mieux.
Les différents modèles de facturation
Quand tu deviens community manager freelance, tu découvres vite qu’il n’existe pas un seul modèle de facturation idéal. Le bon choix dépend de ton profil, de ton niveau d’expérience, et surtout du type de clients avec qui tu bosses.
Voici les trois formats les plus utilisés 👇
💼 Le forfait mensuel
C’est le modèle le plus courant. Tu définis un pack avec un certain nombre de prestations récurrentes : création de contenu, gestion de communauté, reporting, etc.
👉 Avantage : tu sécurises un revenu stable chaque mois.
👉 Inconvénient : il faut bien évaluer le temps passé et inclure les tâches invisibles (briefs, échanges, ajustements…).
💡 Exemple : un forfait community management à 800 € / mois pour 3 réseaux sociaux, avec 8 posts, 8 stories et la modération quotidienne.
⏱ Le tarif horaire ou journalier
Tu factures ton temps de travail, souvent via un TJM (taux journalier moyen) ou un tarif horaire.
👉 Avantage : parfait pour les petites missions ponctuelles (formation, audit, stratégie).
👉 Inconvénient : ton revenu dépend du nombre d’heures travaillées, et ce n’est pas toujours représentatif de la valeur livrée.
💡 Exemple : 60 € / heure ou 350 € / jour selon ton niveau d’expérience.
🎯 Le package ou la prestation sur mesure
Tu proposes des offres packagées selon les besoins du client : lancement d’un compte Instagram, accompagnement stratégie digitale, création de contenu TikTok, etc.
👉 Avantage : tu peux valoriser ton expertise et mieux structurer ton offre.
👉 Inconvénient : demande une bonne expérience pour évaluer le bon prix et éviter de sous-estimer ton travail.
💡 Exemple : un pack “Lancement Instagram” à 1 200 € incluant stratégie, charte éditoriale, 12 publications et 1 mois d’accompagnement.
Le secret, c’est de choisir le modèle qui te permet à la fois de générer du chiffre d’affaires régulier et de préserver ton énergie.
Tu n’as pas besoin d’avoir 10 clients pour bien gagner ta vie — mais de savoir facturer juste et aligné.
Et c’est justement là que beaucoup se trompent.
Voyons maintenant les erreurs de pricing les plus fréquentes à éviter si tu veux un business et un salaire de community manager freelance rentable.
Les erreurs de pricing qui plombent ton business
On ne va pas se mentir : la plupart des community managers freelances galèrent à fixer leurs tarifs au début. Et c’est normal.
Mais certaines erreurs coûtent très cher — parfois littéralement.
Voici les plus fréquentes 👇
❌ 1. Se baser sur les tarifs des autres
Tu as peut-être regardé sur Malt ou dans des groupes Facebook pour voir combien “les autres facturent”.
Erreur classique. Ces chiffres ne reflètent ni ton niveau, ni ta valeur ajoutée, ni ton positionnement.
Un tarif n’est pas une copie à coller : c’est le reflet de ton expertise et de ton marché cible.
❌ 2. Ne pas tenir compte du temps réel passé
Beaucoup oublient d’inclure le temps de préparation, les réunions, les échanges clients, la veille ou la création stratégique.
Résultat : un tarif trop bas, et une charge mentale énorme.
👉 Avant d’envoyer un devis, calcule ton temps moyen par mission, et ajuste ton prix en conséquence.
❌ 3. Penser “prix bas = plus de clients”
C’est tout l’inverse.
Un tarif trop faible donne l’image d’un profil débutant, et attire des clients qui ne voient pas ta valeur.
Ceux qui paient peu sont souvent ceux qui demandent le plus. Résultat : plus de travail, moins de revenus.
❌ 4. Ne pas oser augmenter ses prix
Ton expertise évolue avec le temps, mais si ton tarif reste figé, ton revenu horaire chute.
Chaque nouvelle mission, chaque formation, chaque client satisfait doit te pousser à revaloriser ta grille tarifaire.
❌ 5. Ne pas penser “business”
Tu n’es pas qu’une exécutante : tu es une partenaire stratégique.
Ton rôle impacte le marketing, la vente, et la visibilité de tes clients.
Tu ne vends pas du “community management”, tu vends une stratégie de communication digitale qui leur rapporte de l’argent.
👉 Bref, ton pricing doit être aligné sur ton positionnement de cheffe d’entreprise.
C’est ce changement de posture qui te permettra de passer de freelance sous-payée à entrepreneure épanouie et rentable.
Et si tu veux savoir combien gagnent réellement les community managers freelances en 2026, on rentre maintenant dans le vif du sujet 👇
Les vrais chiffres des revenus en community management
On entend tout et n’importe quoi sur le salaire d’un·e community manager freelance. Entre les chiffres annoncés sur TikTok, les enquêtes sur le Blog du Modérateur et les retours d’expérience dans les groupes pro, difficile d’y voir clair.
Alors, parlons vrai.
En 2026, le revenu moyen d’un·e community manager freelance en France varie entre 2 000 € et 5 000 € par mois, selon son niveau d’expérience, son positionnement et le type de clients qu’elle accompagne.
Voici une idée des fourchettes observées 👇
💡 Certains profils haut de gamme, positionnés en social media management ou en consulting stratégique, peuvent dépasser les 8 000 à 10 000 € de CA mensuel, notamment s’ils combinent accompagnement, formation et création de contenu haut de gamme.
Mais attention : ces chiffres représentent le chiffre d’affaires, pas le salaire net.
Tu dois retirer les charges, les dépenses professionnelles et les périodes creuses. En moyenne, le revenu net mensuel se situe plutôt entre 60 et 70 % du CA.
👉 Autrement dit, une CM freelance qui génère 4 000 € / mois de CA gagne environ 2 600 à 2 800 € nets après déductions.
Et ce qui fait vraiment la différence, ce n’est pas seulement ton niveau, mais ta capacité à structurer ton business.
C’est ce qu’on va voir tout de suite avec les paliers de rémunération et les étapes clés pour passer du statut de débutante à celui d’experte rentable.
De débutante à experte : les paliers de rémunération
Le salaire du community manager freelance n’a jamais été aussi variable qu’en 2026. D’un côté, la demande explose — les entreprises cherchent sans cesse à renforcer leur présence en ligne, sur Instagram, TikTok, LinkedIn ou Twitter. De l’autre, le marché devient plus exigeant : les clients veulent du contenu de qualité, une stratégie digitale claire et des résultats mesurables.
Pour bien comprendre l’évolution du salaire annuel d’un·e content manager ou animateur de communauté, on peut distinguer trois grands paliers professionnels :
🎓 1. Le profil débutant : la phase “apprentissage”
Tu sors peut-être d’une formation community manager, d’un bac +2 en communication digitale ou d’une licence professionnelle à Paris, Lyon ou ailleurs.
Tu découvres tes premiers clients — souvent des petites entreprises, des startups ou des coach·es indépendants.
➡️ Fourchette de revenu brut par mois : 1 200 à 2 000 €
➡️ Taux horaire moyen : 25 à 35 €
Tu apprends à calculer ton tarif, à évaluer le montant juste pour chaque devis, et à proposer des offres simples : création de visuels, planification sur un réseau social, gestion basique de communauté.
Cette étape est idéale pour comprendre la structure du marché numérique, mais ton objectif sera vite d’augmenter tes tarifs et de diversifier tes prestations.
🚀 2. Le profil intermédiaire : la montée en puissance
Après 1 à 3 ans, tu gagnes en expérience professionnelle et tu deviens plus stratégique.
Tu ne fais plus “juste des posts”, tu conçois de vraies stratégies de contenu digital. Tu accompagnes tes clients dans la mise en place de leur plan de communication et tu sais justifier tes choix avec des données concrètes.
➡️ Fourchette de revenu brut par mois : 2 500 à 4 000 €
➡️ Taux horaire moyen : 40 à 60 €
Tu travailles peut-être en collaboration avec une agence de communication, ou comme consultant·e externe pour des grandes marques.
C’est aussi à ce stade que tu peux te spécialiser : community manager TikTok, content strategist, ou même chargé·e de communication freelance.
Tu comprends que ton rôle professionnel va bien au-delà de la création de posts : tu es un acteur du marketing digital.
Et surtout, tu apprends à vendre ta valeur, pas ton temps.
👑 3. Le profil senior : la reconnaissance du statut expert
Avec 4 à 7 ans d’expérience (et parfois un master en communication digitale ou marketing), tu entres dans la catégorie des community managers seniors.
Tu accompagnes souvent des grandes entreprises ou des marques à forte visibilité.
Tu deviens consultant·e social media, formateur·rice, voire rédacteur·rice web stratégique.
➡️ Fourchette de revenu brut par mois : 5 000 à 8 000 €, certains dépassent les 10 000 € de chiffre d’affaires annuel moyen grâce à une activité mixte (coaching, consulting, gestion et formation).
➡️ Taux journalier moyen (TJM) : entre 350 et 600 €, selon le niveau d’expertise et les dépenses professionnelles engagées.
Tu maîtrises les outils numériques avancés, tu analyses les tendances du marché, tu accompagnes plusieurs projets au sein d’un écosystème digital complet (stratégie, tunnel de vente, réseaux sociaux, site web, rédaction web…).
🎯 En somme : plus ton profil devient professionnel, plus ton salaire de community manager freelance varie en fonction de la valeur perçue.
Le but n’est plus de “gagner plus” mais de gagner mieux — en alignant ton positionnement, ta qualité de travail et ton impact client.
Et si ton ambition, c’est de dépasser les 5 000 € par mois, il va falloir penser comme une cheffe d’entreprise.
Voyons ensemble comment certaines y parviennent — sans s’épuiser ni brader leurs services.
Comment atteindre les 5 000 €/mois ?
Atteindre les 5 000 € par mois en tant que community manager freelance, ce n’est pas une utopie — c’est une étape naturelle dans l’évolution de ta carrière digitale, si tu poses les bonnes bases.
Le secret ne réside pas dans “travailler plus”, mais dans structurer ton activité comme une entreprise, pas comme une mission au jour le jour.
Voici les 5 leviers concrets à activer 👇
1. Travailler ton positionnement
Ton salaire varie en fonction de ta valeur perçue. Une petite structure locale ne paiera pas le même tarif qu’une grande entreprise à Paris.
👉 Analyse le marché : fais une étude de comparaison entre tes concurrents, regarde les tendances sur le Blog du Modérateur et les enquêtes des agences de communication.
Définis-toi une niche claire : immobilier, beauté, coaching, artisanat, BTP, etc.
Plus ton positionnement est précis, plus tu pourras proposer des offres à forte valeur ajoutée.
2. Créer des offres packagées et rentables
Les nouveaux community managers ont tendance à vendre leur temps (à l’heure ou à la journée).
Or, les pros qui génèrent un revenu élevé vendent des résultats, pas des heures.
👉 Crée des packs stratégiques avec des livrables clairs : stratégie de contenu, création de posts TikTok, reporting mensuel, mise en place du calendrier éditorial…
Chaque devis doit être construit sur la valeur business que tu apportes, pas sur le coût de ta journée de travail.
3. Développer ton image de marque professionnelle
Ta présence en ligne doit refléter ton expertise numérique.
Un site web clair, une structure de portfolio bien pensée, une page LinkedIn optimisée, et des exemples de résultats concrets (avant/après, statistiques, témoignages).
👉 En France, les community managers freelances qui réussissent à percer sont celles qui montrent qu’elles comprennent à la fois le marketing digital et la psychologie du client.
4. Monter en compétences en continu
Les plateformes évoluent à une vitesse folle. En 2026, les pros qui se démarquent sont celles qui :
- maîtrisent les nouveaux formats vidéo (Reels, TikTok, Shorts) ;
- comprennent les outils de reporting et d’automatisation ;
- savent analyser un taux d’engagement et en tirer une perspective stratégique ;
- utilisent les bases de la rédaction web SEO pour booster la visibilité de leurs clients.
👉 Une formation community manager actualisée ou un master en stratégie digitale peut t’aider à gagner en crédibilité et à augmenter ton salaire de community manager freelance annuel.
5. Apprendre à vendre comme une pro
Tu peux être la meilleure en création de contenu, si tu ne sais pas closer un appel découverte, ton revenu restera limité.
Les community managers seniors qui dépassent les 5 000 €/mois ont compris une chose : elles sont aussi cheffes d’entreprise.
👉 Elles savent présenter leur offre, négocier avec confiance, et proposer des solutions plutôt que des services.
Et c’est précisément ce que tu apprends dans le programme Destination Girlboss : une méthode complète pour développer ta posture, fixer tes tarifs, et structurer ton business digital pour qu’il te rapporte enfin ce que tu mérites.
Tu verras, à partir de là, le community management freelance cesse d’être un emploi instable et devient une carrière numérique épanouissante.
Les secrets des community managers qui cartonnent
Celles qui réussissent vraiment ont compris que la clé du succès ne repose pas sur la quantité de travail, mais sur la stratégie, la structure et la posture professionnelle.
Voici les éléments essentiels qu’elles partagent 👇
🌟 1. Elles ont une vision claire de leur business
Ces professionnelles ne se limitent pas à exécuter des tâches : elles se positionnent comme de vraies consultantes en communication digitale.
Elles comprennent les enjeux marketing et savent choisir les meilleurs leviers numériques pour leurs clients — que ce soit sur Instagram, TikTok, LinkedIn ou Twitter.
Leur objectif n’est pas seulement de “faire des posts jolis”, mais de créer un impact concret sur la notoriété, la fidélisation et le chiffre d’affaires.
💡 En France, ce rôle d’animatrice de communauté est devenu stratégique : il influence directement les ventes et la réputation d’une marque, qu’elle soit basée à Paris, Lyon ou ailleurs.
💼 2. Elles ont structuré leur offre
Une community manager performante sait déterminer sa cible, construire une offre claire et rédiger un devis professionnel.
Elle ne vend pas “du temps”, mais une valeur ajoutée : stratégie, création de contenu, reporting et accompagnement.
Chaque tarif est pensé selon un salaire médian réaliste du secteur, et adapté à son niveau d’expérience.
Résultat : une meilleure rentabilité et une rémunération cohérente avec la qualité du travail livré.
📈 3. Elles connaissent leurs chiffres
Les community managers freelances qui gagnent bien leur vie savent calculer leur salaire idéal et ajuster leurs tarifs.
Elles suivent leurs revenus mensuels, anticipent leurs dépenses, et adaptent leurs offres selon leur évolution professionnelle.
Qu’elles soient diplômées d’un bac+2, d’une licence ou d’un master en communication digitale, elles utilisent leurs compétences pour augmenter leur chiffre d’affaires et gérer leur activité comme une entreprise.
👉 En clair : elles savent que le salaire d’un community manager freelance varie selon son expérience, son positionnement et la qualité de ses offres.
🤝 4. Elles s’entourent intelligemment
Aucune ne réussit seule.
Certaines collaborent avec une agence de communication, d’autres rejoignent des programmes comme Destination Girlboss pour apprendre à vendre, prospecter et dépasser leurs blocages.
Elles échangent avec d’autres pros du secteur, comparent leurs tarifs de community manager freelance, et saisissent chaque opportunité de progression.
Ce réseau devient un atout majeur dans leur carrière.
💬 5. Elles savent se valoriser
Elles partagent les résultats concrets de leurs projets : croissance d’audience, amélioration du taux d’engagement, ou hausse du revenu client.
Elles parlent avec authenticité de leur parcours, de leurs réussites et de leurs apprentissages.
En montrant la valeur réelle qu’un·e community manager peut offrir à une marque, elles renforcent leur crédibilité et justifient leurs tarifs.
💡 En effet, il existe de nombreuses opportunités pour celles qui veulent devenir community manager, que ce soit en freelance, en chargé·e de communication ou en consultant·e digital·e.
Le salaire d’un community manager senior peut largement dépasser celui d’un community manager débutant, à condition d’investir dans ses compétences et de comprendre le sens business de son rôle.
Et si 2026 devenait ton année ?
Le métier de community manager freelance n’a jamais offert autant d’opportunités.
Le marché du numérique est en pleine expansion, les entreprises françaises (de la petite start-up à la grande marque) ont besoin de pros compétentes pour gérer leur image et leur stratégie digitale.
Mais pour en vivre confortablement et ne plus subir les hauts et les bas du freelancing il te faut une vraie méthode.
Une méthode pour prospecter sans stress, closer avec confiance et atteindre un revenu stable et élevé.
C’est exactement ce que t’apprend Clémentine Hédont avec le programme Destination Girlboss 👑.
Un accompagnement 100 % personalisé, pensé pour les community managers, consultantes, coach·es et freelances du digital qui veulent augmenter leurs revenus sans perdre leur authenticité.
📅 Prochaine promo : début 2026
🎯 Objectif : t’aider à atteindre ton ambition de chiffre d’affaires, à générer des rendez-vous chaque semaine et à signer plus de clients.
💬 Tu veux qu’on parle de ton projet ?
👉 Réserve ton appel découverte ici Parce qu’en 2026, ton salaire de community manager freelance ne dépend plus du marché, il dépend de ta stratégie.